La désunion des sociaux-démocrates : cause du populisme

Allemagne/UE – Le journaliste, chroniqueur et écrivain autrichien, Robert Misik, a publié une intéressante analyse dans une récente édition de l’hebdomadaire allemand « Die Zeit », sur la corrélation  entre la mollesse des partis socialistes ou sociaux-démocrates et la montée des mouvements d’extrême-droite. « Trop faibles, trop découragés, trop peu d’unions » seraient, selon lui les trois causes du réveil populiste. Il étaye son discours sur trois arguments qui font que la Communauté Européenne ne puisse pas être réellement dirigée à gauche. En premier lieu, il évoque le néolibéralisme de Bruxelles cautionné par la politique d’austérité voulue par Angela Merkel

 

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